C’est une bonne idée qui va permettre après huit années d’expérimentation de favoriser la diffusion de cette innovation pour pourrait être capitale. Mais le parcours du combattant n’est pas pour autant terminé. Remboursé depuis le 1er juillet la télésurveillance concerne cinq indications : l’insuffisance cardiaque, l’insuffisance rénale, l’insuffisance respiratoire, le diabète et les prothèses cardiaques implantables. Les critères devront être définis par la Haute Autorité de santé (HAS).

La télésurveillance permet « d’interpréter à distance les données nécessaires au suivi médical d’un patient et de prendre les décisions relatives à sa prise en charge » selon un décret de 2010 toujours d’actualité. Plus de 100 000 patients ont bénéficié d’une télésurveillance en 2021 dans le cadre d’expérimentations dont les résultats sont positifs. Près de 120 solutions techniques habilitées pour la télésurveillance ont été répertoriées par le Ministère de la santé.

Reste à bien définir le financement et les conditions du remboursement qui sont encore en discussion.

https://www.ameli.fr/assure/sante/telesante

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