L’Europe à 27 États membres et ses 450 millions d’habitants constitue un ensemble d’expertise exceptionnelle.
La Gouvernance de chaque État membre doit pouvoir davantage s’appuyer sur les connaissances produites au niveau européen. La réaction à la pandémie Covid-19 a montré l’exemple. Les processus de partage et de mutualisation d’informations doivent être accélérés.
Cette mutualisation est particulièrement importante pour les maladies rares qui par définition nécessitent, par définition, l’analyse d’une grande population pour une meilleure connaissance et l’évaluation des solutions thérapeutiques.
La Présidence française du Conseil de l’Union européenne est une opportunité à saisir pour faire avancer ce dossier.